La route est pleine de surprises et d’incertitudes.
Et d’une rivière naquit un quartier !
Le funiculaire, malgré son age avancé, transporte des personnes sans arrêt.
Celui qui admire la beauté d’un panorama est le mètre-étalon des cocus. Il ne regarde plus où il met les pieds.
Un match en continu
Des tâches de verdures habillent le quartier et guident les passants, offrant un peu de couleurs dans ces rues si grisantes.
«On ne savait plus où regarder. Il y avait les légumes de tous les horizons, les fruits en toutes saisons, les pâtes, les conserves, les plats préparés, les viandes, les biscuits, les fromages, les alcools … On se cassait la nuque à lever le nez pour tout voir, à en oublier de regarder où on marchait.» Ma grand-mère me racontait parfois l’ouverture du premier supermarché de son village. Jusqu’à ce qu’ils ferment son étal au marché.
Graffitis rupestres
À nos vandales des villes
Des histoires sans lettres
Pour des regards agiles.
Plan subjectif. Ce sentiment de calme quand les voitures garées à l’extérieur témoignent de ceux qui occupent les lieux.
Range moi dans une case
Fige l’instant et observe l’empreinte de ses pas dans le temps. Fixe le temps et découvre les traces de ses pas dans l’instant.